
Heureux sommes-nous, si nous suivons l’étoile qui nous conduit à Bethléem.
Heureux sommes-nous, si nous allons adorer l’enfant qui vient de naître.
En ce premier dimanche de l’Avent, nous nous rappelons ce que les prophètes ont annoncé et nous nous réjouissons de Noël, cette fête autour laquelle tous les chrétiens du monde entier se rassemblent pour honorer le Sauveur venu parmi nous.
En ce premier dimanche de l’Avent, nous sommes appelés à nous lever, à nous mettre en marche, à l’image des mages, et de suivre l’étoile dans le ciel. Le chemin est long, mais il nous conduit à une crèche, à un enfant né dans la paille dont les parents n’ont même pas trouvé de lit à lui offrir.
En ce premier dimanche de l’Avent, nous entendons en nos cœurs une voix qui nous pousse à annoncer au monde une bonne nouvelle : Jésus, le fils de Dieu, est parmi nous, il est sur le point de naître. Dieu lui a donné vie au milieu des hommes, sous les traits d’un nourrisson.
En ce premier dimanche de l’Avent, nous pensons déjà aux festivités à venir, aux cadeaux à offrir et aux invités à ne pas oublier. Très bientôt, les rues vont s’illuminer et les vitrines des magasins nous rappellent depuis près d’un mois que la fête des fêtes est à nos portes.
En ce premier dimanche de l’Avent, n’oublions pas que Noël n’est pas que la nuit durant laquelle un vieux monsieur barbu vient visiter les cheminées, mais la nuit où Dieu est devenu homme, où Il a matérialisé son amour.
En ce premier dimanche de l’Avent, la flamme est encore bien pâlotte, bien faible ; on craint qu’un courant d’air ne l’éteigne. Pourtant, elle tient bon, elle fait face aux vents, elle se courbe, elle tremble, mais elle se ranime aussitôt. Signe d’espoir, germe de lumière, lueur dans nos vies.
Source de l'image : photo personnelle (c) décembre 2006.
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